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Point de vu
J’ai lu.
J’ai toujours appris que la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. Ce faisant, ceux qui enfreignent à cette notion sont, pour moi, des malfaiteurs. En lisant cet article, il semble que je me suis trompé. Dans le sens où les actes (chosification des humains, massacre des enfants, etc.) posés sont pour ces malfaiteurs faits au nom de leur liberté. Que fait la justice dans tout ça? En tout cas, on voit tout de même que le monde évolue, les mentalités aussi, mais eux, ne suivent pas. Je comprends parfaitement que les gens fassent des mises à jour. Et surtout pour se libérer des manipulations du passé comme le politiquement, le religieusement ou le culturellement correct, afin d’arriver à comprendre que nos choix, tout court, ne sont que le reflet de nos goûts. Toutefois, vu que l’université n’est pas neutre, comment doit-elle procéder pour contribuer efficacement à ce changement?
Le professeur Boulou Ebanda De B’Béri du département de communication de l’Université d’Ottawa répond à une série de questions qu’il s’est posé lui-même dans une contribution sur Affaires Universitaires. Peut-être que l’une d’entre elle, répond à ma préoccupation. Cliquer
Par Tanoh Kakou
Vos libertés contre mes douleurs

Par BOULOU EBANDA DE B’BÉRI | Publié dans AU- Affaires Universitaires – 07 AVRIL 2022
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